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Fauvette, si tu voles au-dessus de cette tombe, chante lui ta plus douce chanson.

Tout ce que l'amitié peut offrir une rose, une larme un souvenir.

Que ton repos soit doux comme ton coeur fut bon.

Un seul être vous manque et tout est dépeuplé.

Ton souvenir restera à jamais gravé dans nos coeurs.

De près ou de loin notre pensée est toujours vers toi.

Le livre de la vie est le livre suprême qu'on ne peut ni fermer ni rouvrir à son choix.
On voudrait revenir à la page où l'on aime et la page où l'on meurt est déjà sous nos doigts.

Le Destin a fait son chemin mais il n'a jamais séparé nos coeurs.

On n'oublie jamais ceux qu'on aime.

Le temps qui adoucit la douleur n'efface pas le souvenir.

Dans nos coeurs à jamais tu demeures

Ton souvenir restera à jamais gravé dans mon coeur.

Le souvenir des jours heureux apaise la douleur.

Quoi que l'on fasse où que l'on soit rien ne t'efface on pense à toi.

Ces quelques fleurs en souvenir du temps passé.

Il n'est de solitude qui ne soit partagée.

L'être est éternel l'existence un passage la mémoire immortelle en sera le message.

Un souvenir ne meurt jamais il s'endort simplement.

Tout s'efface, tout passe hors le souvenir.

Chaque jour qui passe tisse le fil invisible de ton souvenir.

Chaque jour qui passe tisse le fil invisible de ton souvenir.

Parler de toi c'est te faire exister ne rien dire serait t'oublier.

Il manquera toujours quelqu'un pour faire sourire ma vie ... Toi.

Souvenirs heureux d'hier tout sourire et tout amour écoute ma voix familière parler de ces beaux jours.

L'absence d'un père renforce le souvenir de sa présence.

Les feuilles tombent les saisons passent seul le souvenir est éternel.

Quoi que je fasse où que je sois rien ne t'efface je pense à toi.

Si ma main n'est pas dans ta main mon coeur est avec le tien et si mes yeux ne te voient pas aujourd'hui je suis là près de toi.

Au dessus des nuages le ciel est toujours bleu on touche les rivages où règne le Bon Dieu.

Nous étions deux pour nous aimer, je reste seul pour te pleurer.

Nous étions deux pour nous aimer, je reste seule pour te pleurer.

Ensemble nous étions heureux jamais nous ne t'oublierons.

Ensemble nous étions heureux Jamais je ne t'oublierai.

Comme une fleur brisée au souffle de l'orage, la mort l'a ravi au printemps de son âge.

Comme une fleur brisée au souffle de l'orage la mort l'a ravie au printemps de son âge.

Si la vie n'est qu'un passage sur ce passage au moins semons des fleurs.

Sur le sable mouvant où s'écoule la vie, croît une douce fleur que mon coeur a choisi.

Rien ne peut la fâner, rien ne peut la flétrir, cette charmante fleur se nomme Souvenir.

Par la fenêtre ouverte, nous regardions ensemble la vie, l'amour, la joie. Nous écoutions le vent

et les oiseaux chanter. Et puis elle s'est fermée, et seule, reste l'image de ce bonheur passé.

Quand tu nous as quittés le ciel s'est voilé. Dans un monde meilleur nous retrouverons le bonheur.

La nuit n'est jamais complète, il y a toujours au bout du chemin, une fenêtre ouverte.

Le souvenir est une rose au parfum discret, que chaque jour on arrose avec les larmes du regret.

Les feuilles mortes se ramassent à la pelle, les souvenirs et les regrets aussi.

A toi , notre ami, tu aimais la vie. Que notre amitié accompagne nos pensées.

Un jour, nous viendrons nous asseoir près de toi, dans la maison de Dieu.

Depuis que tes yeux se sont fermés, les miens ne cessent de pleurer.

Tous ceux qui t'ont connue te regrettent et te pleurent.

Son souvenir restera à jamais gravé dans nos coeurs.

Que son repos soit doux comme son coeur fut bon.

Tu étais tout pour nous, tu faisais notre joie. Ton rire, ta présence, remplissaient notre vie.

S’il poussait une fleur à chacune de mes pensées pour Toi, la terre serait un immense jardin.

Dors, Papa, dors, mais que nos rires d’enfants, tu les entendes encore au plus profond du firmament.

On n’est jamais tout à fait disparu, tant qu’il reste quelqu’un qui vous a connu, pour se souvenir et parler
de vous de temps en temps, et ainsi vous ramener à la vie l’espace d’un temps.

Que veux-tu que je devienne si je n’entends plus ton pas? Est-ce ta vie ou bien la mienne qui s’en va, je ne sais pas.

Une aube affaiblie verse par les champs, la mélancolie des soleils couchants. 

Verlaine

Ton souvenir  est comme un livre bien aimé qu’on lit sans cesse et qui jamais n’est refermé.

Les étoiles entre elles ne parlent que de Toi.

Jolie messagère va lui dire que je l’aime et que mon coeur a tant de peine.

J’aime la rose pour son odeur, et toi Maman pour ton bon coeur.
J’aime la rose pour un jour, mais toi Maman pour toujours.

Si la vie n’est qu’un passage, notre souvenir gardera ton image.

S’il poussait une fleur à chacune  de nos pensées pour toi, la terre serait un immense jardin.

La mort n’est rien, je suis simplement passé dans la pièce à côté. Je suis moi, vous êtes vous. Ce que nous étions 
les uns pour les autres, nous le sommes toujours. Donnez-moi le nom que vous m’avez toujours donné.
Parlez-moi comme vous l’avez toujours fait. N’employez pas un ton différent. Ne prenez pas un air  solennel ou triste.
Continuez à rire de ce qui  nous faisait rire ensemble. Que mon nom soit prononcé à la maison comme il l’a toujours été,
sans emphase d’aucune sorte  et sans trace d’ombre. La vie signifie ce qu’elle a toujours signifié. Elle reste ce qu’elle a
toujours été. Le fil n’est pas coupé. Pourquoi serais-je  hors de votre pensée, simplement parce que je suis  hors de votre vue?
Je vous attends. Je ne suis pas loin, juste de l’autre côté du chemin. Vous voyez tout est bien.

Le livre de la vie est le livre suprême
Qu'on ne peut ni fermer ni ouvrir à son choix
Le passage attachant ne s'y lit pas deux fois
Et le feuillet fatal se tourne de lui-même
On voudrait revenir à la page où l'on aime
Mais la page où l'on meurt est déjà sous nos doigts